AUX CAMARADES FO INTERIM Pour contre-balancer les chiffres patronaux du secteur du travail temporaire. Voici les chiffres de la DARES :
https://dares.travail-emploi.gouv.fr/donnees/lemploi-interimaire
https://dares.travail-emploi.gouv.fr/donnees/lemploi-interimaire
INFO MILITANTE
Pour la cinquième année consécutive, en 2020, les négociations sur les minima conventionnels des salariés permanents dans la branche du travail temporaire n’ont pas abouti, et ce malgré la présence d’un représentant du ministère du Travail obtenue par FO FEC-Intérim. Le syndicat demande la poursuite de cette présence en 2021, cette fois pour toute négociation de branche.
Il faut en finir avec la toute-puissance du patronat de l’intérim sur le fonctionnement des instances de branche. Son acharnement à négocier a minima, sans jamais envisager d’autres propositions que les siennes, très basses, empêche toute avancée sociale !
, dénonce Mathieu Maréchal, représentant de FO FEC-Intérim.
Pour sortir de l’impasse, le militant FO, qui a déjà obtenu l’automne dernier la présence d’un représentant du ministère du Travail lors des négociations sur les minima conventionnels des salariés permanents, demande le maintien de cette présence en 2021, cette fois pour toute négociation qui s’ouvrira
.
FO FEC-Intérim a publiquement exprimé sa demande, le 15 janvier, lors de la réunion de rentrée de l’instance de négociation de la branche (la CPPNI ou commission paritaire permanente de négociations et d’interprétation, ndlr). Une réunion de rentrée où le syndicat s’attendait à retrouver, de nouveau, autour de la table, un représentant du ministère du Travail.
Car la demande avait été renouvelée, en décembre dernier, par FO FEC-Intérim et, cette fois, également la totalité des cinq autres syndicats représentatifs dans la branche. Dans leur lettre au ministère du Travail, datée du 9 décembre dernier, les organisations pointent l’urgence d’une intervention dans l’instance de négociation de la branche, dont elles constatent depuis plusieurs mois une dégradation des conditions de fonctionnement
. Elles y affirment leur souhait
de reprendre un fonctionnement réellement paritaire
.
On n’a pas l’impression d’être en commission paritaire
L’organisation patronale (Prism’Emploi, NDLR) a une emprise trop forte sur le fonctionnement de l’instance, le menant bien souvent à imposer les points de l’ordre du jour de façon unilatérale et à ne traiter que les sujets qui lui semblent prioritaires
, soulignent-elles.
Conséquence, ce mode de fonctionnement ne permet pas la confrontation loyale des points de vue et la recherche des compromis nécessaires à toute négociation
, concluent les six syndicats, jugeant que cette situation ne peut plus durer
. On n’a pas l’impression d’être en commission paritaire
, résume Mathieu Maréchal, de FO-FEC Intérim.
Les difficultés ne sont pas récentes, même si elles se sont aggravées avec la crise. S’il ne fallait qu’une preuve, l’absence d’accord de branche…depuis juillet 2015 sur les minima conventionnels des salariés permanents en fait facilement office.
C’est, d’ailleurs, ce qui a motivé FO FEC-Intérim à demander, à l’automne dernier, que les négociations prévues sur le sujet, dans le cadre de l’agenda social 2020, se fassent en présence d’un représentant du ministère du Travail.Depuis 2015, les négociations sur les minima conventionnels des salariés permanents ont été complètement improductives, tellement les propositions patronales sont basses
, précise Mathieu Maréchal, représentant de FO-FEC Intérim. Le syndicat n’a pas signé d’accord sur le sujet depuis 2012. A cela, une autre bonne raison : le non-respect par le patronat d’un de ses engagements.
Dans l’accord de 2012, FO a obtenu la neutralisation des parties variables dans le calcul des minima pour les quatre premiers niveaux de la grille. Autrement dit, pour savoir si un permanent d’agence est payé au minimum de la branche, sa rémunération variable est exclue du calcul. En 2012, le patronat s’était engagé à poursuivre cette neutralisation des parties variables, dans le calcul des minima, pour les autres niveaux. Il n’en a rien fait
, rappelle Mathieu Maréchal.
Reste qu’en dépit de la présence d’un représentant du ministère du Travail, les négociations n’auront pas plus abouti en 2020. Lors de la troisième séance, le 4 décembre, le patronat a signifié leur fin. En plein milieu de la réunion, il a congédié le représentant du ministère, au motif qu’un autre sujet que celui des salaires allait être abordé. Tous les syndicats ont été surpris. Le patronat fait ce qu’il veut
, dénonce le responsable de FO FEC-Intérim.
Conséquence, comme l’a notifié par écrit le ministère du Travail, il revient désormais à Prism’Emploi de prendre une recommandation permettant d’établir des minima conventionnels de branche conforme au montant du Smic, porté à 10,25 euros brut l’heure en 2021
. Plusieurs niveaux de la grille y étaient inférieurs.
On ne sait pas où on va
Depuis ? Comme les années précédentes, les syndicats n’ont reçu aucun procès-verbal des réunions de négociation ni actant le désaccord entre parties. Ce qui permettrait a minima de ne pas occulter la réalité des propositions syndicales.
FO-FEC Intérim en portait de nombreuses, dont une augmentation générale de 5% pour tous les niveaux (à partir des minima de l’accord de 2015), la poursuite de la neutralisation des parties variables dans le calcul des minima, ainsi que le patronat s’y était engagé. Enfin, le syndicat revendique l’intégration, dans le champ d’application de cette négociation, du sujet de la rémunération minimale des CDI intérimaires (CDI-I).
FO revendique, pour chaque mission, la majoration du taux horaire au regard de l’ancienneté dans le CDII. Il est inacceptable que ces salariés en CDI ne bénéficient pas de majoration d’ancienneté
, martèle Mathieu Maréchal.
A l’heure où s’élabore l’agenda social 2021, on ne sait pas où on va
, dénonce le militant FO. La demande syndicale du 9 décembre, qu’un représentant du ministère du Travail assiste aux futures négociations, n’a pas reçu de réponse. Pourtant, comme l’indique le code du Travail (dans son article L.2261-20, NDLR), il suffit que deux organisations en fassent la demande pour que l’autorité administrative préside les réunions de la commission paritaire.
Il y a matière. Dans leur demande du 9 décembre, FO FEC-Intérim et les cinq autres syndicats ont déjà identifié six thèmes de négociation sur lesquels ils demandent officiellement une intervention. Les uns sont jugés cruciaux au regard des conséquences de la crise sanitaire, comme le télétravail pour les 30.400 salariés permanents des agences et l’activité partielle de longue durée (APLD), à la fois pour les permanents et les centaines de milliers d’intérimaires. D’ores et déjà, le patronat nous a fait part de sa décision unilatérale de ne pas négocier d’accord de branche sur le télétravail. C’est inadmissible !
, tonne Mathieu Maréchal.
Parmi les autres sujets listés, certains sont cruciaux dans la construction même du socle de droits des salariés (le nouveau contrat CDI-Intérimaire). Pour les derniers, ils concernent des sujets essentiels pour poser les bases d’un dialogue social constructif, tels l’exercice des mandats des salariés intérimaires, les conditions de fonctionnement de l’instance de négociation de branche (la CPPNI) ou les fonds du paritarisme.
Actuellement, seulement sept heures par mois, en deux séances, sont consacrées aux négociations en CPPNI. C’est ridicule au regard du nombre et de l’ampleur des sujets
, martèle Mathieu Maréchal.
Quant à la contribution patronale au financement du dialogue social de branche, pour l’année 2020, elle n’a toujours pas été versée…
Bonne année 2021
Chers collègues, votre mérite est grand !
12 mois de travail se sont écoulés, avec des hauts et des bas : nous avons connu ensemble le confinement lié à l’épidémie de coronavirus, puis l’activité partielle et enfin la reprise de notre activité.
Mais vous n’avez rien lâché au cours de cette année 2020, malgré toutes ces tensions, votre travail et votre bienveillance sont à souligner.
Je vous souhaite mes meilleurs vœux professionnels et personnels pour 2021.
Puisse cette année vous apporter toutes les récompenses et les encouragements que vous méritez.
(Tout ce qui a un début a une fin, mais chaque fin est le début d’un nouveau départ.)
Bien à vous
ASSURANCE CHÔMAGE
Publié mercredi 29 avril 2020par Evelyne Salamero, journaliste L’inFO militante
Alors que le nombre de chômeurs augmente de façon vertigineuse, le ministère du Travail a annoncé lundi 27 avril vouloir engager une réflexion avec les partenaires sociaux pour adapter rapidement les règles d’assurance chômage face à la situation exceptionnelle découlant de la pandémie. Pour la confédération FO, la première chose à faire est d’abandonner définitivement la réforme de l’Assurance-Chômage entamée en novembre 2019 et qui réduit drastiquement les droits des demandeurs d’emploi. Une position qu’elle a d’ores et déjà largement défendue et qu’elle réaffirme lors de chaque visio-conférence hebdomadaire avec la ministre du Travail.
Les effets du confinement sur l’économie se font déjà très durement sentir. Le nombre de chômeurs enregistrés en mars a augmenté de 7,1%. Du jamais vu. Il s’agit de la hausse mensuelle la plus forte observée, souligne la Dares, la direction des statistiques du ministère du Travail.
On compte 246 000 demandeurs d’emploi supplémentaires en catégorie A (sans aucune activité). Cette hausse, qui équivaut à plus du triple de celle enregistrée en mars 2009, en pleine crise financière, porte le nombre de demandeurs d’emplois en catégorie A à 3,732 millions, ce qui efface les baisses de janvier et de février.
Au total, le nombre de demandeurs d’emplois (catégories A, B et C) atteint 5,744 millions, ce qui marque une stabilité sur le trimestre et un recul de 2,9% sur un an. Mais jusqu’à quand pourra-ton- se prévaloir de cette baisse annuelle ?
Les contrats courts, premières victimes
La brutalité de la hausse mensuelle de mars correspond à la conjugaison d’un nette augmentation des entrées à Pôle emploi (+5,5%) avec une très forte baisse des sorties (-29%), précise la Dares. Les entrées pour fin de missions d’intérim et fins de contrats courts sont en hausse, la mise en place du confinement ayant conduit à des non-renouvellements ainsi qu’à de moindres nouvelles embauches de courte durée, précise-t-elle.
En clair, la crise due à la pandémie vient frapper de plein fouet un marché de l’emploi déjà plombé par la précarité, les premiers touchés étant précisément les salariés dépourvus de CDI. Si le phénomène n’est pas nouveau, il est aujourd’hui considérablement aggravé.
Le ministère du Travail, préférant visiblement « positiver », en conclut que le chômage augmente parce que les entreprises, dans le contexte actuel, n’embauchent plus, mais pas parce qu’elles licencient massivement. Mais jusqu’à quand durera ce moindre mal ?
Le menace de plans sociaux massifs se profile
D’ores et déjà la menace de plans sociaux massifs, voire de licenciements secs, en nombre, commence à poindre. La direction d’Airbus vient ainsi d’adresser un courrier à ses 135 000 salariés. Elle leur demande de s’attendre à de possibles nouvelles mesures de réduction de la production d’avions d’ici deux à trois mois. Notre trésorerie diminue à une vitesse sans précédent, ce qui peut menacer l’existence même de notre entreprise, appuie-t-elle.
Autre exemple, celui d’Air France, à qui l’État garantit un prêt de 4 milliards d’euros sans l’ombre d’un engagement de la direction de ne procéder à aucun licenciement en contrepartie. De quoi nourrir l’inquiétude des personnels.
Et que dire des entreprises qui, telle General Electric à Belfort, poursuivent leur plan social comme si de rien n’était, refusant ne serait-ce que de décaler la procédure de quelques mois ?
Pour l’instant, le chômage partiel a permis d’amortir le choc
Le contexte déjà difficile avant la pandémie, est aujourd’hui celui d’une récession que le FMI (Fonds monétaire international) prédit comme la plus forte depuis la grande dépression des années 30. En France, le dernier projet de loi de Finances rectificative table sur une contraction du Produit intérieur brut de 8% en 2020, un déficit public d’environ 9,1% du PIB et une dette à 115% du PIB. Des chiffres encore provisoires a insisté le ministre de l’Économie Bruno Le Maire. Cela va être une année difficile en termes d’emplois a avertit la ministre du Travail, Mme Muriel Pénicaud.
Pour l’instant la possibilité de recourir au chômage partiel a permis d’éviter le pire. Le dispositif concerne actuellement près de 11 millions (10,8 millions) de Français, soit un salarié du privé sur deux, répartis dans 820 000 entreprises, soit plus de six sur dix. Pas moins de 93% des salariés du BTP et 90 % de ceux de l’hôtellerie-restauration sont aujourd’hui en chômage partiel. Le dispositif, qui permet une indemnisation équivalente à 84% du salaire net, est financé par l’État à hauteur de deux tiers (soit 24 milliards d’euros à ce jour au lieu de 8,5 milliards initialement) et par l’Unedic à hauteur d’un tiers.
Sans ce système protecteur, une partie d’entre eux serait aujourd’hui au chômage et le nombre de nouveaux chômeurs se compterait par millions, souligne le gouvernement. Certes, mais combien de temps le financera-t-il ?
Le montant du plan d’urgence gouvernemental pour soutenir l’économie a été porté à 110 milliards le 23 avril, soit plus du double des 45 milliards prévus dans le précédent budget rectificatif approuvé fin mars. Cela suffira-t-il ? Il est permis d’en douter, d’autant que cette marge supplémentaire est notamment destinée à financer le report des charges sociales et fiscales pour les entreprises (42 milliards au total).
L’urgence maintenant : l’abandon de la réforme de l’Assurance Chômage
Reconnaissant une hausse historique du nombre de demandeurs d’emplois, le ministère a annoncé vouloir engager une réflexion avec les partenaires sociaux pour adapter rapidement les règles d’assurance chômage à la situation exceptionnelle découlant de la maladie. Il devrait préciser ses intentions aux interlocuteurs sociaux.
Pour la confédération FO, l’équation immédiate est simple. L’urgence est à l’abandon définitif de la réforme de l’Assurance chômage d’ores et déjà partiellement entrée en vigueur depuis le 1er novembre 2019.
À ce jour, malgré la crise ouverte par la pandémie, le gouvernement a seulement suspendu jusqu’en septembre le volet de la réforme qui devait s’appliquer à compter du 1er avril. Il s’agit d’un durcissement des règles de calcul de l’allocation pour les travailleurs contraints à des interruptions d’activité entre deux contrats courts.
Une réforme visant 3,4 milliards d’euros d’économies aux dépends des chômeurs
Le montant de leur allocation ne sera plus calculé en fonction de la moyenne de la totalité des salaires perçus sur les 12 derniers mois mais sur la base d’un revenu moyen mensuel qui prendra en compte les jours travaillés mais aussi les périodes d’inactivité. Résultat des courses : plus les demandeurs d’emplois auront subi des interruptions d’activité, plus ils seront touchés par la baisse de leur allocation.
Le premier volet de la réforme, entré en vigueur au 1er novembre 2019, n’a pas cessé de s’appliquer. Celui-ci durcit les conditions d’accès à l’indemnisation du chômage, puisqu’il faut désormais avoir travaillé six mois sur les deux dernières années pour y avoir droit au lieu de quatre mois sur les 28 derniers mois précédemment. Les conditions ont également été durcies pour le rechargement des droits : il faut désormais avoir travaillé six mois (contre un mois auparavant) durant la période de chômage pour prolonger sa durée d’indemnisation.
Dans un contexte marqué par une récession qui ne fait que commencer, la confédération FO estime aujourd’hui plus nécessaire que jamais l’abandon de cette réforme visant 3,4 milliards d’euros d’économies d’ici 2022, aux dépends des chômeurs.
FO proteste contre un chômage partiel individualisé
Le dispositif de chômage partiel a d’ores et déjà été affaibli par l’ordonnance du 22 avril. Alors que jusqu’ici l’activité partielle devait impérativement s’appliquer collectivement, les entreprises pourront désormais ne l’utiliser que pour certains salariés, voire un seul, au sein d’un même établissement, service ou atelier (si un accord d’entreprise le prévoit, ou que le CSE ou le Conseil d’Entreprise y sont favorables).
Si la mesure est temporaire, elle n’en inquiète pas moins très fortement la confédération FO. Nous nous opposerons à toute prolongation de cette mesure susceptible, très rapidement, de conduire à de véritables inégalités, principalement salariales, entre les salariés, a-t-elle fait savoir à la ministre du Travail, dans un courrier du 23 avril.
Pour éviter de telles discriminations, estime la confédération FO, cette dérogation temporaire devrait s’accompagner d’une obligation pour les employeurs de compléter l’indemnité de chômage partiel de façon à ce que les salariés concernés continuent de percevoir la même somme que ceux qui restent en activité.
EVELYNE SALAMERO, JOURNALISTE L’INFO MILITANTERubrique internationale
SALARIES PERMANENTS – CDI INTERIMAIRES
INTERIMAIRES
FO CRIT INTERIM BP 70251—75464 PARIS Cx 10
Tél : 06.10.22.60.99 – Mail : fo_crit@orange.fr – site : fo-crit.fr
ELECTIONS PROFESSIONNELLES
LE TAUX DE PARTICIPATION POURRAIT ETRE DERISOIRE…
EXPRIMEZ-VOUS !!! VOTEZ !!!
POURQUOI IL EST ESSENTIEL DE VOTER POUR DESIGNER VOS REPRESENTANTS AU COMITE SOCIAL
ET ECONOMIQUE
Dans une société de plus en plus libérale et individualiste, les syndicats sont les gardiens du temple qui vous protègent,
salariés, pour que nous ne devenions pas les esclaves modernes, serviables et jetables, sans plus aucune protection légale.
La législation impose encore, pour le moment, des négociations obligatoires sur différents thèmes comme :
la rémunération, la formation professionnelle, l’égalité professionnelle, la qualité de vie au travail.
Alors oui, nous obtenons peu en dépensant beaucoup d’énergie, après de longues négociations, mais sans les représen-
tants du personnel vous auriez encore moins que rien…
Oui, nous sommes peu nombreux à nous dévouer à la cause collective, à mettre nos carrières de côté, à accepter d’être
stigmatisés comme « les syndicalistes », et pourtant nous sommes convaincus de la nécessité d’être présents au quoti-
dien à vos côtés et motivés à y consacrer tous nos efforts et notre énergie.
Sans vos voix, votre soutien, la cause commune n’existera plus… Et ce sera chacun pour soi…
Nous nous efforçons de construire des listes où chacun est représenté, permanents intérimaires, hommes femmes, em-
ployés cadres, et ce, dans différentes entreprises utilisatrices, pour les représentants des intérimaires, et non pas dans une
seule par facilité ou opportunité…
Alors si vous ne voulez pas regretter demain de ne pas avoir agi à temps
Retrouvez notre dernière veille juridique
Rappelez-vous notre dernier tract
REGLEMENT INTERIEUR
DU 12 AVRIL 2019
ENCORE UNE FOIS FO INTERIM CRIENT AU SCANDAL
Mais que se passe-t-il à la direction Crit, qu’avez-vous faite ! Apparemment des vols auraient eu lieux au siège, et c’est tout le personnel crit qui trinque
IL NE SUFISAIS PAS Q’UN SYNDICAT VOUS TRAITE DE VOLEUR MAINTENANT C’EST LA DIRECTION LA FO A HONTE POUR EUX
Et vos heures supp ils sont OU ! qui vol qui………
Et voilà que LA DIRECTION PASSE au vote au CE le jeudi 16 mai 2019
Le projet du règlement intérieur, fait froid dans le dos dans ces articles 23/24/25/26 ! Mais apparemment cela ne gêne personne à part FO !
Voici les résultats de ce vote. Abstention : 3 – Contre : 1
Et le pire c’est que la CFE CGC et la CFDT vote pour et autorisent la direction a fouiller : 9 Pour
C’EST SCANDALEUX
Le pire dans tout cela c’est que la CFDT n’était même pas présente au CHSCT extraordinaire pour le débat sur les fouilles (je signe ou patron)
Nous sommes furax de voir autant de mépris du personnel crit
VOUS VOULEZ QUE CELA CHANGE !
VOTER FO INTERIM pour éviter que cela se reproduise !
Rejoigniez nous, venez criez votre colère !
FO INTERIM BP 70251 75464 PARIS CEDEX 10 Tél : 06.10.22.60.99 Mais aussi sur votre site internet : fo-crit.com
Ilhem xxxxxxxxx
xxxxxxxxxxxxxxx
xxxxxxxxxxxxxxxx FO INTERIM CRIT
BP 70251
75464 PARIS CEDEX 10
Objet: Remerciement à Farid HAMMOUDI et à FO
Farid,
Tu m’a brillamment assisté lors du litige qui m’opposait à mon employeur .
Contrairement aux autres représentations syndicales, notamment la CGT à qui j’ai adressé un mail fin décembre 2018 et dont à ce jour je n’ai toujours eu aucun retour, et la CGC qui a fait partie du CHSCT et qui ne m’a apporté aucune aide ni lors de mon mal être au travail ni pour m’accompagner suite au licenciement. FO est La seule organisation qui m’a immédiatement soutenu , répondu positivement à mes demandes, et qui m’a accompagné jusqu’à la conclusion d’un accord .
FO se préoccupe réellement de garantir les droits des salariés et non à protéger ses intérêts personnels.
Merci à FO, merci à ton professionnalisme et à ton soutien .
Dés que je trouverai un nouvel emploi , tu peux compter sur moi pour vous soutenir dans vos futures revendications et actions
Cordialement,
Ilhem xxxxxxxxx
Le projet du règlement intérieur, fait froid dans le dos !
Article 24 – Vestiaires et armoires
La Société met à la disposition de son personnel un meuble de rangement sécurisé (fermeture
avec une clé par ex.) dédié au rangement des effets personnels des salariés et placé à proximité
de leur poste de travail.
Pour des raisons d’hygiène et de sécurité, les meubles de rangement (caissons, armoires, etc…)
mis à disposition pourront être ouverts après que le salarié en ait été prévenu = NON !
Les opérations d’ouverture s’effectueront en présence de l’intéressé, sauf cas d’empêchement exceptionnel et dans des conditions préservant l’intimité à l’égard des tiers non-requis.
Ces meubles devront être maintenus en état de propreté constante. Ils doivent être vidés au
moins une fois par an pour être nettoyés par le salarié.
Le non-respect de ces consignes est susceptible d’entraîner l’application de sanctions
disciplinaires prévues au présent règlement. = NON !
Article 25 – Fouilles
Si les circonstances le justifiaient, notamment en cas de disparitions d’objets ou de matériels,
ou pour des raisons de sécurité collective, la direction se réserve le droit de procéder, lors des
entrées et sorties du personnel, à la vérification des objets transportés. = NON !
Ces fouilles seront effectuées dans le respect de la dignité et de l’intimité de la personne. Elles pourront être organisées de façon inopinée à l’unique initiative du directeur de l’unité de travail
ou de son représentant. = NON !
Tout salarié pourra toutefois exiger la présence d’un témoin (tiers appartenant à l’entreprise ou
représentant du personnel) et pourra refuser de se soumettre immédiatement aux opérations de
contrôle. En ce cas, celles-ci seront effectuées par un officier de police judiciaire,
FO N’A PAS VOULU PARTICIPER AU VOTE POUR UN AVIS.
NOUS ETIONS LES SEULS A TAPER DU POING SUR LA TABLE, NOUS N’ETIONS QUE 2 SYNDICATS PRESENTS FO ET LA CFE CGC Mais un avis syndical a été donné ce qui donne légitimité à l’entreprise pour l’application du règlement intérieur après le vote du CE
|
Site : fo-crit.fr rejoignez-nous c’est le moment ! Appelez nous au 06.10.22.60.99
Vous partagez nos idées, vous avez envie de lutter plutôt que de subir, vous avez déjà été accompagné par FO et vous souhaitez vous investir… Devenez Membre du CSE !
Comité social et économique qui remplace le CE
Appelez moi